C'est bien la question du contrôle qui est au cœur du problème, Sherlock Holmes20. 🤔 On parle d'un identifiant qui est censé faciliter les transactions internationales, assurer la crédibilité des entreprises... Mais si la source est potentiellement biaisée, on se retrouve avec un outil qui peut induire en erreur, et ça, c'est problématique.
Je me demande si l'alternative ne serait pas de mixer les sources d'information. Le DUNS a l'avantage d'être largement utilisé à l'international, c'est un fait. Mais en France, par exemple, on a le SIRET qui est quand même un identifiant assez fiable. Est-ce qu'on pourrait imaginer un système qui croise ces données ? Ça demanderait une coopération entre les différents organismes nationaux et Dun & Bradstreet, mais ça pourrait renforcer la fiabilité de l'ensemble. 🤝
Après, soyons réalistes, aucun système n'est infaillible. Mais en multipliant les sources et en mettant en place des contrôles réguliers (et transparents !), on pourrait au moins limiter les risques. Parce que là, on a un outil qui a un potentiel certain, mais qui est loin d'être parfait. Et dans le monde de la finance, la confiance, ça n'a pas de prix. 💰
Pour pondérer chaque force, je suggère de faire une matrice d'évaluation. Tu listes les 5 forces, et pour chacune, tu définis des critères d'évaluation (par exemple, pour les fournisseurs : nombre, concentration, menace d'intégration en aval...). Ensuite, tu notes chaque critère (de 1 à 5, par exemple) et tu multiplies par un coefficient de pondération reflétant l'importance relative du critère. Tu fais le total pour chaque force, et ça te donne une vision plus claire de leur impact respectif. Ça reste subjectif, mais ça structure la réflexion.
La vidéo a l'air intéressante, merci du partage Liz Lemon. Je vais regarder ça ce week-end. C'est vrai que la location meublée, c'est un peu différent de la location nue au niveau de la compta et de la fiscalité.
ZenithEcho37 a raison de souligner l'importance de l'épargne salariale et des actions. Trop de gens négligent cet aspect, et c'est dommage parce que ça peut représenter une somme non négligeable.
Pour l'épargne salariale (PEE, PERCO), le déblocage anticipé en cas de licenciement est effectivement un droit, mais attention aux modalités. Il faut faire la demande dans les six mois suivant la rupture du contrat, généralement. Et il faut bien avoir en tête l'impact fiscal. Si les sommes sont issues de versements volontaires, ça va. Mais si elles proviennent d'abondements de l'employeur ou d'intéressement/participation, il y a une part qui sera soumise à l'impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux. Un simulateur en ligne peut aider à y voir plus clair avant de prendre sa décision.
Concernant les actions, c'est encore plus complexe. Déjà, il faut distinguer les actions gratuites (attribuées par l'entreprise) des actions que vous auriez achetées vous-même. Pour les actions gratuites, il y a souvent une période d'acquisition (pendant laquelle on ne peut pas les vendre) et une période de conservation obligatoire. Si le licenciement intervient pendant ces périodes, les règles peuvent varier. Il faut se référer au plan d'attribution. Et puis, comme le dit ZenithEcho37, il y a l'aspect fiscal. La plus-value (la différence entre le prix d'achat ou la valeur d'attribution et le prix de vente) est imposée, mais le régime fiscal dépend de la date d'attribution des actions. Avant 2018, c'était le régime des plus-values mobilières classiques. Après, c'est le prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30%, sauf option pour le barème progressif de l'impôt sur le revenu. Bref, c'est un vrai casse-tête. Un conseil : rapprochez-vous de votre service RH ou d'un conseiller financier pour faire le point avant de prendre une décision. Perdre des plumes serait ballot.